vendredi 15 septembre 2017

MESSAGE DE KADHER MOULFI. COALITION HARKIS


Le Président Macron doit reconnaître le génocide des Harkis et Pieds-Noirs, par le FLN et ses marsiens, lors des commémoration des 25/09 et 05/12 2017 !!!

À l'attention : du Président de la République, Monsieur Emmanuel Macron

Le candidat Macron avait déclaré, en Algérie, que la colonisation était un crime contre l'humanité, sans donner davantage de détails.

Face à la polémique, celui-ci a évoqué, de manière très floue et unilatérale, la "guerre" d'Algérie qui n'est pas une guerre au sens juridique et international du terme mais une pure création idéologique et politicarde, via la loi scélérate et révisionniste du 18 octobre 1999, soit une déclaration de guerre, à un Etat qui n'existait pas, 45 ans après.

Pour preuve ni l'ONU ni Etats ni organisations (de type Croix Rouge) n'ont reconnu, cette "guerre", selon les conventions internationales (Genève, ...) ni les Accords d'Evian entérinés le 18 mars 1962.

Ces accords prévoyaient, entre autres "petits-arrangements" économiques, stratégiques (le Front National de Libération supposé avoir délivré, son Peuple, de la colonisation, a accepté, néanmoins, que, par exemple, l'Etat français puisse continuer à l'irradier, jusqu'en 1975, avec ses essais nucléaires au Sahara).

Lesdits accords acceptés, par les représentants du FLN et ceux de la France, stipulaient, par ailleurs, que les "Musulmans" de droit local (Cf. les décrets Crémieux), incluant les Harkis et leurs familles, deviennent, Algériens au sens flniste, sans leur laisser le choix de rejoindre, librement, la "Mère-Patrie" qu'ils avaient servie dont certains depuis la seconde guerre mondiale puis l'Indochine

Il est étonnant que l'Etat français et, encore plus, le FLN, aient signé, cette condamnation à mort programmée, notamment, en raison des télégrammes émanant, bien avant, des katibas, imposant d'attendre avant de liquider les Harkis.

La perfidie préméditée et sournoise obligeait, la France, à désarmer ses propres soldats, pour les livrer à un génocide plus que prévisible.... Résultat, après le pseudo-cessez-le-feu du 19 mars 1962 à 12H00 violé, dès le premier jour, par le FLN et ses "marsiens" (les fameux résistants de la dernière heure), il y eut 150000 Harkis (chiffres donnés, par un courrier du Ministère des Armées, en 1975), plusieurs milliers de Pieds-Noirs et 530 soldats métropolitains furent exterminés avec une barbarie extrême.

L'Histoire ne doit pas être captée, par une seule catégorie d'historiens vrais ou supposés, ayant soutenu avant, pendant et après, d'une manière ou d'une autre, le FLN et autres révolutions marxistes et assimilées, sans que les susvisés ne soient confrontées à une véritable contradiction équilibrée dans le débat public (incluant les médias).

L'Algérie d'avant, le 05 juillet 1962, n'était pas la propriété, du FLN, avec une histoire très complexe qui ne doit pas être instrumentalisée, par un régime unique despotique et corrompu, ayant ruine ce paya et ses habitants (es).

C'est pourquoi le Président Macron, au service des Français (es) et, aucunement, des dictatures étrangères, doit reconnaître, officiellement, le génocide perpétré, par le FLN et ses "marsiens, après le cessez-le-feu, lors des commémorations des 25 septembre et 05 décembre 2017.

Bien Cordialement 

Khader Moulfi (Roubaix)

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