dimanche 2 juillet 2017

A MEDITER



Quand ils ont réclamé des menus sans porc à la cantine, je n'ai rien dit : ce n'était qu'une préférence alimentaire.

 Quand ils ont réclamé le port du voile pour les femmes, je n'ai rien dit : ce n'était qu'un choix vestimentaire.

 Quand ils ont réclamé le port du burkini à la plage, je n'ai rien dit : ce n'était qu'un souci de décence.

 Quand ils ont réclamé la construction de nombreuses mosquées, je n'ai rien dit : ce n'était que des lieux de culte, comme il y en avait aussi pour nous.

 Quand ils ont réclamé que ces mosquées soient surmontées de minarets, je n'ai rien dit : ce n'était qu'un problème architectural.
 Quand ils ont réclamé des pauses pour la prière pendant la journée de travail, je n'ai rien dit : ce n'était que pour être plus efficaces ensuite.

 Quand ils ont réclamé des jours fériés liés à leurs fêtes religieuses, je n'ai rien dit : ce n'était que l'équivalent de nos jours fériés de culture catholique
.
Quand ils ont réclamé le financement du pèlerinage à La Mecque par les comités d'entreprise, je n'ai rien dit : mon entreprise n'était pas concernée.

 Quand ils ont réclamé l'appel du muezzin cinq fois par jour, je n'ai rien dit : en gardant mes fenêtres fermées, je ne l'entendais presque pas.

 Quand ils ont réclamé le statut de langue officielle pour l'arabe, je n'ai rien dit : le français restait aussi langue officielle.

 Quand ils ont réclamé la révision des manuels scolaires pour les rendre conformes au Coran, je n'ai rien dit : de toute façon, les élèves n'apprennent plus rien à l'école.

 Quand ils ont instauré la charia en France, je n'ai rien dit : en démocratie, l'avis de la majorité prévaut sur celui de la minorité

 Quand ils ont exigé que je me convertisse à mon tour, je n'ai rien pu dire : il n'y avait plus que des musulmans autour de moi.

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