VEUILLEZ LIRE, NE SERAIT-CE QUE POUR ETRE INFORMES DE CE QUE
LES MEDIAS VOUS CACHENT…
Voici le reportage « Journal d’un CRS » que vous ne
trouverez nulle part ailleurs car totalement interdit !
PAROLES DE POLICIER : (Prenez le temps de lire jusqu’au
bout)
Ce journal de bord relate le quotidien des missions dont
sont chargées nos CRS. Il ne s’agit nullement d’un texte d’anticipation mais de
la narration sur le vif du début de la guerre civile qui a commencé sur notre
sol.
Pour le moment, cette guerre civile est contenue dans le périmètre de «La Jungle» à Calais.
Comme nous le prévoyons, attendez-vous
à ce qu’elle se propage dès que sera donné le signal de l’assaut général. Un
assaut minutieusement préparé contre la France. Contre notre civilisation.
Contre vous…
Ce CRS raconte :
« Au rassemblement, on nous demande une fois de plus de ne
pas dire ce qui se passe ici aux gens que l’on connaît. IL FAUT CACHER LA
VÉRITÉ comme l’argent qui leur est donné chaque jour, les 3 repas par jour
offerts, la nourriture distribuée directement au camp, les vêtements souvent
neufs, le fait qu’ils aient tous, je dis bien TOUS, des smartphones dernière
génération (ceux que l’on ne peut pas se payer en travaillant), les soins
gratuits à outrance − d’ailleurs je plains les pompiers du coin − le fait
qu’ils détruisent une partie de la nourriture qui leur est offerte car ils
n’ont pas ce qu’ils ont commandé… »
Une honte de les garder sur notre sol !
« La matinée a été longue. Très longue. Le manque de repos
sur cette mission commence à se faire sentir. Enchaînement incessant des
services à différents horaires… De jour comme de nuit.
Qu’il vente, qu’il
pleuve, qu’il neige… Enfin… Nous ressentons du dégoût à ne pouvoir faire du
travail de police, grandir, ici et là, dans des conditions dangereuses. Nous
sommes là et las.
En surveillance sur une bande d’arrêt d’urgence pendant six
heures (endroit où l’on dit que la durée de vie est calculée statistiquement à
moins de quinze minutes) constatant, impuissants, que les routiers de tous les
pays empruntant cette voie, se moquent de nous, policiers présents…
Ils débouchent sur ces voies rapides sans prendre gare aux
véhicules déjà sur cet axe, à toute allure, nous rasent sans ralentir,
s’engagent devant nos yeux sans respecter les règles de sécurité, les règles de
priorité ni le code de la route…
Nous sommes frôlés par ces semi-remorques
lancés à plus de 90 km/h, ce qui rajoute au mauvais temps, une dimension
surréaliste.
En d’autres endroits, nous jouons les «cônes de Lübeck», ces
fameux cônes en plastique orange aux bandes blanches réfléchissantes, qui
servent à matérialiser un accident, un danger ou des travaux, posés devant des
trous dans le grillage qui coûte une fortune.
À chaque trou bouché ou pas, un
ou deux policiers restent là, sous les caprices des éléments et du temps, à
attendre une potentielle attaque !
Les migrants viendront. Un sas de sécurité a été installé,
des barrières gigantesques de 4 ou 5 mètres de haut, distantes en parallèle
d’un mètre cinquante sur plus de 35 kilomètres… J’en suis loin, je pense.
Chaque jour, ils cassent en différents endroits, là où nous ne sommes pas !
Les
réparations elles aussi coûtent une fortune.
04:30 ― Réveil puis nous arrivons à l’heure du repas.
13:20 ― Nous n’avons vu personne. Pas un migrant sur notre
point. Le temps de se restaurer, de reprendre la direction de notre
hébergement, déchargement de l’armement collectif et douche sans traîner.
15:15 ― Dans 8 heures, nous reprenons le service. La nuit
prochaine, nous travaillons. Ce soir, ce sera une prise de service à 23:30 pour
terminer (en théorie) à 07:00 du matin…
Arrive l’heure de reprendre le service.
Les mines sont
fatiguées. Le bonjour jovial, reste marqué d’une fatigue flagrante qui se lit
de plus en plus sur les visages, comme une écriture. Au rassemblement, la
température de la journée est donnée : quelques grenades lancées, beaucoup
d’activité sur les voies rapides, mais plus encore en soirée.
En fond sonore, une radio embarquée dans l’un des
véhicules-recueil est active : « sur le point Golf-Alfa-2, ils sont au contact. Ils lancent
des barres de fer et des pierres. Un de chez nous est touché légèrement. Avons
utilisé une dizaine de grenades MP7 . » «Deux poids-lourds accidentés à cause
de blocs de béton sur les voies rapides. Les avons dégagés. Demande renfort de
2 véhicules».
Pendant ce temps, nous est rappelé le cadre de l’utilisation
du lanceur de balles de défense. Le lanceur de 40 est une arme de défense
intermédiaire dotée d’un viseur point rouge non projeté. Il lance des balles de
caoutchouc et touche à plus de 50 mètres. Malgré tout, son utilisation est très
réglementée et contraignante. Il nous est rappelé également que dans le cadre
de notre travail, il est autorisé aux gens de nous prendre en photo !
Anarchistes des groupes NO BORDER
Les «NO BORDER» incitent les migrants à nous tendre des
embuscades (bien qu’ils n’aient pas besoin de conseil pour le faire) pour
prendre des photos et des vidéos pour dénoncer des “failles” dans notre manière
d’intervenir ou des images pour nous mettre en cause. Mais surtout, ils
espèrent faire un maximum de blessés dans nos rangs.
Le chargement de l’armement collectif se fait au cul du
camion-armurerie. Des « blagounettes » sont lancées ici et là pour faire
oublier que nous serions mieux dans un lit bien chaud, dans nos foyers et non
sous ce crachin permanent qui nous recouvre petit à petit…
Comme les autres, je prends un LBD.
Moi, je dis : « Perso, je prends en compte le lanceur Cougar
». Il lance des grenades au coup par coup mais avec de l’habileté, il se
manie très bien et se recharge vite. Son bruit détonnant ressemble à celui d’un
mortier. – « OK » lance le chef de bord. « Qui veut des grenades à main ? »
Elles sont réparties dans les gilets tactiques (qui n’ont de tactique que le
nom) censés nous protéger de coups éventuels, absorber des chocs, mais aussi
permettre le transport de matériel supplémentaire.
La répartition des grenades et conteneurs lacrymo faite, je
m’emploie à mettre le gilet de grenades pour le lanceur Cougar. Il est lourd.
Il contient des grenades avec un dispositif de retardement pour les lancer à 50
mètres, d’autres à 100 mètres. La fermeture est cassée. Sur les ondes, on
apprend que les effectifs que nous allons relever sont pris à partie en de
nombreux endroits. Il va falloir faire vite.
Les jambières sont mises, les casques vont se visser sur nos
têtes rapidement… Le LBD et le Cougar sont alimentés d’une cartouche chacun,
prêts à être utilisés au besoin. À la radio, la station directrice ne sait plus
où donner de la tête. Il faut des renforts partout, sur presque tous les
points. Ordre nous est donné, bien que nous soyons en dynamique cette nuit, de
renforcer ponctuellement un point situé juste derrière le camp des migrants : «
la Jungle ».
00:15 ― À notre arrivée, l’atmosphère est tendue. Le bleu
des gyrophares inonde la nuit et se reflète sur nos visages à moitié protégés.
Les consignes sont prises. Nous voilà seuls. Deux VR montés de cinq hommes
chacun, casque sur la tête. À nos côtés, une vingtaine de personnes viennent à
notre rencontre. Certains sont en treillis camouflé, bonnet ou cagoule noire.
Ce sont les hommes et les femmes du collectif « Les
Calaisiens en Colère » . Ils tentent de protéger leurs biens, mais donnent
aussi de bonnes informations sur les événements passés ou à venir,sans avoir
peur, le cas échéant, de combattre aux côtés des Forces de l’Ordre !
La semaine avant notre arrivée, «Les Calaisiens en Colère»
ont apporté une aide considérable aux collègues présents.
Assaillis de tous côtés, les policiers ont utilisé toutes
leurs grenades et se sont retrouvés face à des migrants armés de couteaux et
barres de fer.
N’écoutant que leur courage, « Les Calaisiens en Colère »
sont venus se battre au coude à coude aux côtés des forces de l’ordre qui, bien
qu’ayant informé la hiérarchie qu’elles n’avaient plus de moyens intermédiaires
pour contenir les assauts répétés, ont reçu l’ordre de rester sur place.
Ça bouge sur un petit chemin plongé dans le noir complet,
longeant la voie rapide. Nous intervenons pour dégager des amas de barres de
fer, de blocs de béton et je ne sais encore quels autres projectiles de fortune
entassés et abandonnés par un groupe de migrants qui voulaient les lancer sur les
voies de circulation.
01:20 ― La situation est calme pour nous. Les pompiers
interviennent dans le camp, escortés par une de nos patrouilles (5 hommes) pour
secourir un individu blessé par arme blanche.
02:00 ― Au loin, des silhouettes traversent la petite route
sur laquelle nous sommes implantés en direction d’habitations civiles. Ici et
là, sur les ondes radio, on entend signaler des vagues de migrants de 40 ou 50
individus.
02:30 ― Les riverains et amis du Collectif quittent les
lieux. Nous sommes plongés dans le calme de la nuit, avec un éclairage faible.
02:45 ― Sur les ondes et partout alentours, on entend hurler
que de nombreux camions sont arrêtés, assaillis par des vagues de 50 migrants,
dont certains accidentés sur la voie rapide.
À pied en courant, nous venons prêter main forte à
l’effectif originaire de l’information ; dessous, une multitude de véhicules
immobilisés, presque au contact les uns des autres qui, miraculeusement, ne se
sont pas percutés les uns les autres.
Pareil à des Gremlins, de « petits démons noirs » surgissent
de toutes parts des fourrés Ils prennent d’assaut les cabines de poids lourds,
armés de barres de fer.
Déchaînement de violence
La Sécurité retirée, du haut du pont, quatre salves de 3
Cougars (soit 12 grenades) arrivent à mettre en fuite les assaillants qui se
trouvent à 80 mètres. Nous arrivons, malgré l’excitation collective, à ne
toucher aucun camion avec nos projectiles !
Une fois les assaillants repoussés par des effectifs venus
en renfort sur la voie rapide, le déblai des gravas peut commencer.
À notre tour, nous arrivons à bord du véhicule venu nous
récupérer sur ce qui ressemble à une « zone de guerre », zigzaguant entre les
véhicules arrêtés et des débris de toutes sortes. Sur les ondes, ordre nous est
donné de remonter sur le même axe pour prêter main forte aux collègues qui se
trouvent en niveau bas de grenades, à quelque 300 mètres plus haut.
À leur hauteur, nous sautons de notre véhicule encore en
marche car nous constatons qu’un effectif se trouve contre la rambarde de
sécurité. Des projectiles arrivent à les atteindre.
Les objets sont jetés depuis une zone boisée sans que l’on
puisse distinguer les individus… Seuls des cris venant des fourrés dans des
dialectes inconnus.
Parfois un NIQUE LA POLICE ou FUCK THE POLICE se mêle aux
ALLAH AKHBAR ! et à leur slogan favori : VIVE DAESH !
M. Bernard Cazeneuve s’adressant à des réfugiés… « syriens »
peut-être (?)
David, l’un de ceux que nous sommes venus appuyer par le
tir, braque son faisceau lumineux et me demande d’envoyer une MP7 (lacrymo)
dans la direction d’où il pense que partent les lancers. Avec 3 tirs de Cougar,
j’arrive enfin à saturer l’endroit et à mettre en fuite le petit groupe de
perturbateurs.
Le vent nous est favorable. On en profite, mais les effets
psychologiques ne sont pas négligeables non plus. Juste au dessus, 300 mètres
plus un groupe de 20 à 30 individus virulents, armés de barres de fer, prennent
le temps de jeter des panneaux de signalisation, des poteaux métalliques
arrachés plus loin et des poubelles par dizaines au milieu de la voie rapide.
Nous progressons avec un effectif de la section 3 : 2 Cougars et 2 agents munis
de conteneurs lacrymo
La progression se fait sous la protection de tirs Cougar.
Les migrants ripostent avec des objets métalliques qui s’écrasent à nos pieds
en formant des étincelles et rajoutant des décibels au vacarme environnant.
Certains sont presque au contact. Visage barbu pour les uns, imberbe pour les
autres, âge moyen de 20 à 30 ans. Robustes. Regards pleins de haine. Des yeux à
la flamme meurtrière nous font face.
Il nous faut prendre cette partie haute. Mais l’endroit d’où
viennent les pierres nous est caché par la végétation qui les protège. Avec le
Cougar, le tir devient tendu pour tenter de pénétrer l’épaisse végétation.
Effet immédiat : ça les fait reculer et descendre jusqu’à l’entrée du camp.
Pendant que je m’occupe de cette partie, les autres, derrière moi, protègent
mes arrières et mon latéral.
La place devenue nôtre. Je me mets en protection avec le
Cougar, le temps que les collègues sortent les nombreux débris accumulés. En
bas, une centaine d’individus (pour beaucoup masqués) vocifèrent, tendent les
poings en notre direction et des barres de fer de plus de 1,50 m.
D’autres se sont regroupés sous le pont, juste en-dessous de
nous. Une bonne cinquantaine, qui attendent en guet-apens et ramassent de
nombreux projectiles. Un petit groupe de 5 individus rejoint les autres en
courant, leur tendent les mains et se séparent à droite et à gauche du camp.
L’évacuation des gravats n’étant pas terminée, je reste sur
le point fort, ce qui semble leur poser un problème quand tout à coup, venant
de droite à l’entrée du camp, des projectiles sont lancés vers nous pendant que
d’autres assaillants tentent de se rapprocher. Une vraie stratégie de guérilla.
J’effectue un premier tir en cloche. Mais la MP7 avec un DPR
100 mètres (dispositif de retardement) – il ne me reste plus que ça dans le
gilet – tombe juste derrière eux. Le vent ne m’étant pas favorable, je décide
de tirer en direction des pieds à 10 mètres devant ceux qui arrivent au
contact.
Le tir parfaitement exécuté, repousse les assaillants.
Rechargé rapidement, j’utilise une seconde fois le Cougar contre le groupe dont
les projectiles arrivent jusqu’à nous. Je réussis à l’aide du rebond sur un
baraquement visé, à atteindre ma cible avant que les plots de lacrymo ne soient
expulsés hors du corps de la grenade. Un des individus tente de la saisir. Trop
tard. Boum !
Au passage, protégeant un groupe de chez nous venu en
soutien sous le pont pour couper l’assaut des migrants en leur direction, je
tire une grenade qui arrive droit sur un homme en train de jeter des pierres
sur l’effectif d’en bas, le percutant vers le visage. Le carton rouge étant
brandi, ce dernier regagne les vestiaires sans demander son reste.
La situation est maîtrisée sur le point maintenant tenu par
d’autres effectifs de chez nous.
Nous sommes requis par notre station directrice qui nous
envoie en renfort d’un équipage de l’autre côté du camp, endroit où nous avons
commencé à grenader en début de soirée. Sur les lieux, nous effectuons encore
des tirs sporadiques de MP7 sur des migrants qui nous arrivent dessus en
courant et en hurlant.
06:50 ― La nuit se termine. Nous sommes relevés. Esprit
calme. Une nuit comme on aimerait passer plus souvent… (!)
La vacation suivante se révélera être beaucoup moins
valorisante. Le véhicule est posé sur un rond-point donnant vue sur 2 entrées
du port, avec 2 effectifs au sol de 19:30 à 02:00 du matin.
Un vent d’au moins
120 km/h et une pluie battante n’épargnent même pas le dessous du pont juste à
côté. En tout et pour tout, un seul migrant est venu tenter sa chance sur notre
point pendant que de l’autre côté de la ville, des grenades tombent à foison.
J’en passe… C’est trop long…. Je suis fatigué… »
Vous avez lu… Libre à vous de diffuser ce témoignage à tous
vos contacts… Ne serait-ce que pour informer le maximum de Français de ce que
vivent nos forces de l’ordre à Calais… Et bientôt en France car, sans être
outrancièrement alarmiste, il est indéniable que ce flot de migrants renferme
bon nombre d’intégristes musulmans qui nous conduisent peu à peu vers une
probable…
GUERRE CIVILE… Mais chut… pas d’amalgame !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire