MISERABLE....................................
JE LE PARAPHRASERAIS EN DISANT : SELON QUE VOUS SOYEZ DE DROITE OU
DE GAUCHE...................................
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Henri Guaino
condamné à 2000€ pour outrage
COMPARAISON
- Cela vous a
peut-être échappé, tout occupés que vous étiez à observer l'incroyable
"acte révolutionnaire" de Marine Le Pen qui, n'écoutant que son courage, a
décidé de ne pas répondre à une invitation, mais, ce jeudi 22 octobre, il s'est
passé bien d'autres choses. Henri Guaino, par exemple, a été condamné
à 2.000 euros d'amende pour avoir outragé le juge Jean-Michel Gentil. Une sanction que le député Les
Républicains des Yvelines a un peu de mal à encaisser.
Invité d'iTÉLÉ , l'ancienne plume de Nicolas
Sarkozy dénonce "le corporatisme et la pression syndicale" du système
judiciaire. Et s'indigne que l'on ne puisse pas critiquer un juge alors qu'on peut insulter des élus.
Il dit : Il y a quelque chose qui ne va pas. Un humoriste traite un député de 'salope'. Il est relaxé. Un député critique – violemment peut-être - mais critique - je ne l'insulte pas - un juge qui a fait son travail à ses yeux de façon scandaleuse et il est condamné. Où allons-nous ?
Henri Guaino
fait ici référence à Guy Bedos, relaxé
mi-septembre après avoir
traité Nadine Morano de "conne" et de "salope", entre
autres. L'eurodéputée a fait appel de cette décision.
Henri Guaino
ne sait pas forcément où l'on va. En revanche, il ne s'interdit pas, malgré sa
condamnation, de critiquer à nouveau le juge Gentil. Le député LR n'a
apparemment pas peur du qu'en-dira-t-on ni des condamnations. "On peut
me condamner une fois, dix fois, 20 fois, 100 fois, 1.000 fois. Personne
ne me fera taire, ajoute-t-il.C'est le rôle d'un représentant de la nation, disposant d'une parcelle certes infime de la souveraineté nationale, c'est son rôle de dénoncer tout dysfonctionnement dans les institutions, de dénoncer les agents publics quand ils outrepassent leurs pouvoirs, quand ils abusent de leurs pouvoirs et là j'estime que le juge Gentil a abusé de son pouvoir."
Et l'élu
d'estimer que la justice ne fonctionne décidément pas vu que, d'après lui,
"les voyous sont dehors" et lui est condamné :
Moi je peux me défendre mais les
pauvres gens qui ne peuvent pas se défendre, eux, on les embastille, on les
traîne dans la boue.
En mars
2013, Henri Guaino a plusieurs fois critiqué l'attitude du juge Gentil qui
avait décidé de mettre en examen Nicolas Sarkozy pour "abus de
faiblesse" dans le cadre de l’affaire Bettencourt. À l'époque, l'élu LR a
dénoncé une décision "indigne" qui "salit l’image de la France"
et "déshonore la justice".
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Injures envers Nadine Morano :
Guy Bedos relaxé à Nancy
L'humoriste était poursuivi pour avoir insulté Nadine
Morano lors d'un spectacle à Toul en 2013
L'humoriste
Guy Bedos,( ????? ) poursuivi
pour avoir notamment traité Nadine Morano de "conne", a été relaxé par le tribunal
correctionnel de Nancy. Le tribunal a estimé qu'il était resté dans
"la loi du genre" en tant qu'humoriste, et qu'il n'avait "pas
dépassé ses outrances habituelles" lorsqu'il avait copieusement insulté
l'élue lors d'un spectacle à Toul, en Meurthe-et-Moselle, en 2013.
Rencontre
Morano-Bedos à l'audience. "Nadine Morano a été élue ici à Toul ? Vous l'avez échappé belle ! On
m'avait promis qu'elle serait là... Quelle conne !" avait notamment lancé
l'artiste sur scène, entre autres injures à l'intention de l'élue. A
l'audience, le 7 septembre, le procureur Pierre Kahn avait estimé que "la limite (avait) été
franchie" lors de ce spectacle.
Ces poursuites
pour "injure publique" étaient passibles d'une amende maximale de
12.000 euros. Guy Bedos et Nadine Morano s'étaient croisés au tribunal, mais
cette dernière avait refusé de serrer la main que lui tendait l'humoriste, en
arguant qu'ils n'étaient "pas au théâtre". Guy Bedos avait
récusé toute misogynie, tandis que l'élue l'accusait de lui vouer une
"animosité personnelle".
Une insulte
renouvelée sur un plateau. Dans
l'émission "On n'est pas couché" sur France 2, Guy Bedos avait
renouvelé ses injures contre l'eurodéputée. Celle-ci lui réclamait 15.000
euros de dommages et intérêts, qu'elle souhaitait verser à des associations de
lutte contre les violences faites aux femmes.
"Pas un
mot, ni pour ni contre Nadine Morano. Elle est trop chère. J'aurai le jugement
lundi, d'ici là, je me tais", avait dans un premier temps répondu
Guy Bedos à Laurent Ruquier, avant de s'emporter une nouvelle
fois. "15.000 euros quand même ! 15.000 euros ! ça ne va pas non ?
Conne !" avait-il dit, en suscitant des rires dans le public.
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